
Quand ton adorable future collègue te fais une belle surprise avant l’heure… Merci Amélie !
Une belle journée 🥰✏️📝🔑❤️
Pour qu'écrire (re)devienne un plaisir !
Ecriture douloureuse, peu lisible, peu soignée, peu fluide, lente, maladroite, hors des lignes ou qui n'est pas en adéquation avec votre personnalité, la graphothérapie peut vous apporter des solutions !
Quand ton adorable future collègue te fais une belle surprise avant l’heure… Merci Amélie !
Une belle journée 🥰✏️📝🔑❤️
Même si pour le moment je n’ai pas de date, voici l’affiche qui sera apposée sur la porte du cabinet prochainement…. A moins que je change d’avis d’ici là…
Magnifique cadeau en vue de mon installation prochaine…. Objectif : décoration murale ! Je l’adore 🥰😍
Un grand merci à ma soeur, mon beau-frère et mes nièces pour cette gentille attention si touchante ! MERCI ☺️
A l’heure des tablettes numériques, voici la petite dernière !😉😁
Reçue à l’instant ! Hâte de la proposer en rééducation… ☺️
Dernières trouvailles pour faire bouger les petits doigts…. Couleurs, textures, formes, fonctions : on diversifie les mouvements !
L’objectif est de bien maîtriser le crayon pour permettre plus tard une bonne mobilité des doigts qui facilitera une accélération aisée de l’écriture.
Pour cela, chaque doigt doit tenir son rôle. Il s’agit de réaliser un trépied dynamique. Deux modes de préhension sont possibles :
Là aussi une reprise systématique des enfants est fondamentale pour qu’ils ne prennent pas de mauvaises habitudes. Même si l’écriture est belle, ce qui est fréquent chez les élèves appliqués, il convient de les corriger tout de même pour ne pas qu’ils ancrent un mauvais geste dans leur corps.
Quelques prises en main à corriger…
Pour une bonne tenue du crayon, voici une technique qui fonctionne bien car les doigts se placent naturellement de la bonne façon. Il est possible que votre enfant change de position au bout d’un moment mais rien de grave, refaites lui refaire simplement la manipulation. Le crayon est posé sur la table.
Recherche et essais d’impression pour la comm’
En graphothérapie on travaille beaucoup la motricité fine, la mobilité des doigts, la souplesse, la flexibilité, les sensations.
Alors on manipule, on joue, on s’amuse ! Et on progresse 😉
Je croise les doigts pour que le projet voit le jour rapidement mais il semble que Au plaisir d’écrire 76 (cabinet de rééducation de l’écriture) ouvrira ses portes sur la commune de Yerville. Un pôle pluridisciplinaire est en cours de réflexion !
Reste à attendre la date d’ouverture !
La graphologie, qui est un fidèle révélateur de la psyché et de la personnalité à donné naissance à la graphothérapie, qui postule qu’un certain travail sur l’écriture peut contribuer à transformer la psyché et les comportements. Découvrez la graphothérapie, ses principes, ses bienfaits, le déroulé d’une séance, comment devenir graphothérapeute.
La graphothérapie avait à l’origine pour champ d’action la dysgraphie (troubles de l’écriture qui ont pour résultat l’illisibilité relative) et certains troubles du comportement chez les enfants. Elle consistait donc à rééduquer l’écriture afin de la rendre plus lisible et facile à réaliser.
Ainsi, l’analyse et l’observation de sa propre écriture permettraient, par exemple, de faire ressurgir des souvenirs d’enfance à l’origine de diverses dépendances affectives ou psychiques, ou de lever le voile sur des aspects méconnus de sa personnalité. Par la suite, en transformant sa façon d’écrire et à l’aide de divers exercices graphiques, on pourrait, par une sorte de rétroaction, agir sur sa psyché, et conséquemment changer des attitudes ou des comportements nuisibles. L’exemple classique, et bien sûr un peu réducteur, est de s’efforcer de placer volontairement et consciemment les barres de nos T plus haut, ce qui nous aiderait à adopter une attitude plus déterminée et plus confiante pour affronter nos défis quotidiens.
La graphothérapie vise à aider les enfants qui présentent des problèmes de dysgraphie. Ces enfants, surtout des garçons, en viennent rapidement à souffrir de problèmes d’apprentissage. Cela a pour effet de leur donner des sentiments d’échec et de manque de confiance en soi, et peut entraîner des troubles du comportement. Il s’agit souvent d’enfants intelligents, brillants, parfois surdoués. Chez eux, l’illisibilité de l’écriture provient fréquemment d’un choc émotionnel vécu dans le cercle familial au cours de la petite enfance.
La rééducation ne porte pas directement sur l’écriture elle-même, mais plutôt sur le dessin de quelques formes fondamentales (boucles, coupes, arceaux, hélices, etc.). Il s’agit de simplement travailler sur la souplesse et l’aisance dans le geste. De façon aussi ludique que possible, on vise à relaxer le geste, la respiration, les perceptions et les sensations. Par la suite, on apprend à bien tenir le crayon, à adopter une bonne position corporelle durant l’écriture, bref, on tâche de détendre l’enfant afin qu’il prenne plaisir à écrire.
La graphothérapie peut être utilisée pour une meilleure connaissance de soi et pour libérer la psyché des obstacles qui peuvent nuire à son développement. Cette approche est donc également destinée aux personnes qui désirent mieux se connaître et repérer les obstacles qui limitent la réalisation de leur plein potentiel.
Le graphothérapeute est un professionnel qui peut exercer en privé ou en public. Il va aider l’individu à mieux tenir son stylo, à mieux se positionner et à acquérir de bonnes bases à l’aide d’exercices ludiques. Compréhensif, son rôle est de rééduquer son patient en prenant en compte sa personnalité et sa sensibilité.
En graphothérapie classique : la première rencontre se passe généralement avec l’enfant et ses parents. Durant celle-ci, le graphothérapeute va évaluer le sujet et établir le contact. En principe, c’est l’enfant qui décide (ou accepte) d’entrer en thérapie à la fin de cet entretien d’environ 2 heures. Suivra une série de séances hebdomadaires qui s’étaleront sur une période pouvant varier de 6 à 10 mois.
Graphothérapie symbolique : à l’occasion de la rencontre initiale, la personne écrit un texte et étudie les outils d’analyse de la graphothérapie symbolique. Grâce à ceux-ci, elle pourra désormais repérer elle-même dans son écriture le ou les traits récurrents (on les appelle signes-totems) qui constituent les véritables signatures graphiques de ce qui se cache dans son inconscient. Par divers exercices graphiques, on tâchera, par exemple, de modifier l’angle des lettres, de leur ajouter de la rondeur, ou alors de s’exercer à écrire de la main gauche pour les droitiers et de la droite pour les gauchers, histoire de rétablir l’équilibre entre les deux hémisphères du cerveau.
Il existe plusieurs écoles de graphologie et de graphothérapie. En règle générale, les formations sont composées de cours de rééducation de l’écriture, de psychologie clinique et d’interprétation du dessin. Elles peuvent s’effectuer en école ou par correspondance.
La graphothérapie s’adresse aux enfants, aux adolescents et aux adultes qui souhaitent corriger leur écriture ou entamer une démarche de développement personnel. Cependant, cette discipline n’est pas une technique d’intervention en cas de crise aiguë ou de psychose.